Qui n’a jamais pleuré au moins une fois dans sa vie ? Mais sait-on vraiment pourquoi on le fait ? On comprendrait qu’un bébé pleure au moindre besoin non assouvi, mais lorsqu’on devient grand, on n’arrête pas non plus de pleurer. Pourquoi ?

Pleurer : une capacité qui différencie les humains des autres êtres vivants

On pleure pour plusieurs raisons. Ici, nous n’allons pas évoquer les pleurs des bébés qui sont souvent l’expression d’un désir ou d’un besoin, étant donné qu’ils ne savent pas encore s’exprimer autrement. On veut comprendre l’adulte qui pleure.

Chez une personne adulte, les pleurs peuvent résulter d’une émotion. Il peut s’agir d’une joie ou d’une tristesse. S’ils caractérisent le plus souvent une douleur émotionnelle, ils peuvent également, parfois, qualifier d’importantes souffrances physiques. Si l’homme est le seul être vivant capable de verser des larmes, comment peut-on appréhender celles-ci ?

Sous l’os de l’arcade sourcilière, nous disposons d’une glande que l’on appelle la glande lacrymale. Pour comprendre son fonctionnement, on peut garder en tête les spécificités des glandes salivaires. Sous le coup de l’émotion, une surproduction de larmes peut survenir et on est là en train de verser toutes les larmes de notre corps, comme ont dit.

Quand pleurer devient une thérapie

Les psychologues nous rappellent que les pleurs se présentent comme des mécanismes pouvant nous alerter d’un stress, un signe qui peut tout à fait être semblable à celui d’un battement cardiaque plus vite que la normale. En plus de décharger la personne de son angoisse, de sa tristesse et de son anxiété, les pleurs peuvent aussi alerter autrui et lui apporter une attention particulière. En plus de soulager, un moyen fiable pour libérer les tensions, pleurer se présente aussi comme une sorte de code de communication.

Si ce sont les femmes qui pleurent le plus souvent, ce n’est pas parce qu’elles sont plus sensibles ou psychologiquement moins résistantes que les hommes. Il est surtout question d’hormones. En effet, certaines hormones sont produites chez elles et qui restent absentes chez les hommes. Pendant et surtout après l’accouchement, on peut notamment constater une forte présence de larme dans l’organisme de la jeune maman. Cependant, quand pleurer devient permanent, il est préférable de consulter un spécialiste.

La tenue que l’on porte peut influencer les perceptions d’autrui. Comme il s’agit de la première chose que les autres constatent en premier sur nous, nos vêtements peuvent en effet donner la première impression. Ce que nous portons peut aussi nous affecter.

L’impact de notre tenue vestimentaire sur les autres

Il est bien logique de se dire que les vêtements portés par une personne définie établissent un jugement de la part d’un autre individu. Dans notre société actuelle, il faut avouer que le style vestimentaire relève d’une norme sociale. En effet, on ne s’habille pas de la même manière pour aller au travail et faire du jogging. De cette imposition sociale, il est déjà possible de se faire une idée de l’activité à faire d’une personne à travers ses habits.

Cependant, se conformer aux règles n’est pas toujours ce qu’il y a de mieux. Des études ont démonté que plus on ose transgresser les codes vestimentaires, plus on est perçu comme quelqu’un de plus compétent que les autres. En revanche, pour que cela soit effectif, il faut disposer de toute la confiance en soi nécessaire.

Le port des habits renvoie essentiellement à la théorie des signaux. Pour nous définir, ces signaux peuvent exploiter le prix du vêtement, le style, la marque, etc.

L’influence de notre tenue sur nous-mêmes

Si la façon dont une personne s’habille peut apporter une influence chez ses interlocuteurs et dicter leur comportement, il est aussi important de noter que cela peut également impacter la manière d’agir de l’individu lui-même.

En psychologie, on va plutôt parler de cognition vestimentaire. Le choix d’un vêtement peut égayer une journée, baisser ou optimiser l’énergie de la personne, etc. Les couleurs, le style, la marque et le coût entrent tous en jeux. Voilà comment on pourrait peut-être expliquer qu’une journée de repos en pyjama paraît particulièrement plus fatigante et moins intéressante que si l’on mettait des habits de sport.

Rien de tout cela ne relève de la magie, mais bel et bien de la psychologie. Ce sont les idées qui nous influencent et les vêtements que l’on porte sont tout autant d’idées qu’on souhaite explicitement exprimer. Si « l’habit ne fait pas le moine », à bien des égards, il peut en quelque sorte déterminer ce que nous sommes d’un premier coup d’œil, qu’il convient toujours d’approfondir.